Le Palais: pret pour un siege

**Le palais est en ce moment meme en train de se mettre en mode siege. On barre les portes et on ferme les fenetres.**

**Le capitaine est conduit vers le palais.. par deux soldats. Une charette obstrue la vision de Katherine.**

**Katherine essayait tant bien que mal de ne pas perdre le capitaine de vue, regardait au-dessus, à gauche, à droite de la charette, mais elle craignait de le perdre. Dans un profond soupire, elle bouscule légèrement quelques passants pour arriver à marcher sur le côté de la charette, et si le capitaine est suffisamment éloigné, à la dépasser.**

**Katherine tu remarque que la charette va dans le palais elle s'arrete devant tandis que plus loin le capitaine est en train d'entrer avec les soldats. Tu pense a ce que je penses? La charette a un drap par dessus et de la paille en dessous.**

**Katherine regarde tour à tour les gardes au palais, puis la charette, puis les gardes à nouveau.**

Ça vaudra peut-être mieux qu'être renvoyée par les gardes et me faire remarquer par le capitaine...

**Elle revient donc vers l'arrière de la charette, attend calmement pour s'assurer que personne ne regarde dans sa direction et grimpe, avant de se caller complètement au fond du foin.**

**La charette continue vers lla double porte de l'enceinte. Des soldats l,arretent.**

-La paille pour les cheveaux du privé mes soldats.

-Bien passez...

**La charette poursuit son chemin vers le centre de la court. Le capitaine est en train d'entrer avec tous les soldats de la court dans le palais, une longue maison de bois style anglaise. Iln'y a plus de soldats dans la court, seul des servantes, qwui ressemblent a peu pres a Katherine. C'est le moment d'agir!**

*Katherine bondit hors de la charette et passe prestemment ses mains sur ses vêtements pour en retirer les brindilles de foin. Ses joues sont en feu lorsqu'elle regarde autour d'elle, d'abord pour vérifier qu'on ne la dévisage pas trop, et surtout, pour repérer le capitaine.*

**Escorté par 2 soldats le capitaine passe par la grande porte. Les soldats entrent. La porte va bientot se refermé. Mais comme tu passes devant laporte, meme en te cachant.. tu passes devant un soldat qui sortait prestement et que tu n'a pas vu. Il te dévisage d'un air engageant. En t'effleurant le visage il dit..**

-Salut ptite.. tes nouvelle?

**Tu vois derriere la porte se refermé.. tout ce que t'as vu c'est la capitaine tourner a droite..dans le palais alors que tu es touours sur le porche et la porte se referme...**

*Katherine rougit et baisse les yeux devant le soldat*

Euh... oui.

*Elle jete un coup d'oeil furtif vers la direction empruntée par le capitaine.*

Beaucoup de travail, vous savez ce que c'est...

*Elle lui fait un petit sourire et va pour marcher vers la porte.*

**Le garde sembla hésitant, mais se retourna soudain.**

-D'accord mais.. pas si vite, si on se voyait apres votre ouvrage. Je vous attendrai ici. D'accord?

**Puis il la laissa entrer!**

Tu eslibre de suivre le capitaine.. il a tourné a droite

**Le couloir de droite se poursuit aussi a gauche mais tu emprunte la voie de droiteé. Il y a deux servantes qui balayent le plancher dans le couloir. Le couloir de droite tourne brusque,ment vers la gauche mais il y a trois portes dans les environs, une dans le coude et une qui termine le couloir, la première semble n'etre qu'une cage d'escalier et tu vois le'un des deux soldats qui se retourne vers toi. Il semble qu'il n'ai escorté le capitaine vers l'une des deux portes.**

**Quelque peu troublée par l'invitation du soldat, Katherine se voit embêtée par les deux portes. Elle revient sur ses pas et va voir une des servantes.**

Je te remplace?

**Elle lui sourit, engageante, la main tendue pour prendre le balais.**

**La servante regarda la cuisinière. Elle était visiblement exténuée et secouée par un quelqu'onque problème sentimental. C'est pourquoi bien qu'elle fut étonnée a l'idée d'être relevée au quart de son chiffre, elle ne posa pas de question et laissa simplement sortir un triste.. **

-..sob.. oui, merci..


**Puis elle sanglotta. Sans doute une infactuation avec l'un de ces malabars de soldats... Elle quitte vers l'autre couloir-celui de gauche. Puis la cuisinière se retrouve seul avec l,autre servante. Maintenant les soldats sont tous appelés par un cor et plus aucun dÙ'entre eux n'est danns le couloir en ce moment...**

C'EST LE MOMENT OU JAMAIS..

**Katherine ne s'attarda pas trop à l'autre servante et fit mine de passer le balais, se rapprochant rapidement des deux portes où le capitaine avait éventuellement pu se réfugier. Elle alla à la première porte, et, le balais quand même en main, cessa tout mouvement pour écouter ce qui pouvait se dérouler derrière cette porte.**

[Habileté de voleur: écouter aux portes]

**Katherine colla son oreille sur la porte et soudain, 2 succès bravo! elle entend la voix du capitaine.**

-euh non! Radek n'avait rien dit sauf a moi, j'était son quatremaitre. et quel est le problème ca n'est pas la première fois que nous transportaons de la drogue!!!

-Idiot, votre Capitaine pourrait nous avoir mis en danger. ces opérations sonty secrètes et ne doivent jamais être connus ded personne.. Je devrai couper votrer salaire en deux. Bouggre pour la prime de difficulté... cetopium est le meilleur au monde. Savez vous d'ou il vient. Et si les nations de France et D'Angl;eterre savent qu'il est ici.. Je suis mort. Heureusement je m'en débarrasserai assez vite pour ne point que vous me retourniez dessus..

**Katherine, ce bizzare de speach continue mais l,autre servante s'approche de toi..**

-Que fait tu la? Tu vas te faire prendre ma chere..

**LE CAPITAINE EST DANS LA PIÈCE QUI SERT DE COURT AU LONGHOUSE.**

**Wolf s'impatientait. Il ne le prennait pas que son hôte, le privé francais devant lui lui enlève la paye prévue...**

-D'ABORD TU VAS ME MONTRER TES LETTRES DE MARQUE TOI! qUEL EST TON NOM! HEIN?

**Voyant que ses hurlement allait alerté tous les soldats du quartier, il dégaine deux de ses pistolets, les deux deux coups et les pointe directement sur le privé.**

-Alors. Mes réponses.. svp. Wolf souriait en coin. Heu.. je vous averti ces pistolets sont trops dangereux et je tire trop bien pour sourciller alors on se tient a carreau et on donne patte blanche musetier...

**Un soldat est alerté dans le couloir par les cris et interrompt les servantes en discussions, quoi qu'il ne semble pas atterré par cela puisqu'il est très inquiet de la situation. Il ouvre la porte et entre. Les servante ont le temps de voir le capitaine et son hôte le privé dont on ignore encore le nom.**

-Je vous trouve bien insolent! Les voila vos lettres de marque.

**Des soldats arrivent et bousculent les servanbte si bien qu'elles ne peuvent plus voir la suite du spectable bien qu'elles puissent encore entendre. Pour le capitaine l'homme a lancé les lettre devant lui dans un attaché.**

-Prennez les et voyez par vous même.

**Le capitaine surement lache un pistolet et prend les lettres. Elles semblent bien approuvées du roi de France. Le nom indiqué serait Orlean DeNoncourt**

**Le capitaine ne prête aucune confiance a ces lettres de marque et va les faire étudier sur le Styx.**

-Je les emmène avec moi sur le Styx. Je les rapporterai. Vous pouvez m'escorter jusqu'a mon navire avec mon paiement complet ainsi que des soldats. Je ne veux aucun problèmes alors n'en cherchez pas.

**Wolf est psycho. Son meilleur pistolet dans sa meilleure main, il pointe sans sourciller le putain de privé. Il grimace et devient soudainement violent mais se contrôle. On entend un hurlement étranglé. Sans peur, il passe devant tout le monde et sort dans le couloir et saute tout en pointant toujours le privé.**

-Alors mon cher privé j'ai vos lettres de marque faites moi donc escorter. Vous deux soldats suivez moi. Dépĉhez vous. Puyis il parcoutut le long passage d'un pas vif en se dépĉhant. Pret a tuer n'importe qui se mettant sur sa route. Il n'a jamais vu la cuisinière du Styx...

**Katherine avait vu les événements débouler. D'abord la servante, à laquelle elle bredouilla quelques "tu as raison", puis aux soldats qui arrivaient, elle fit mine de balayer plus loin, et crut qu'elle allait mourir quand le capitaine s'était rué à l'extérieur, se détournant vivement pour qu'il ne voit pas son visage. Elle balaya avec grande nervosité, ne sachant pas quoi faire d'autre, pendant plusieurs minutes, s'assurant de laisse une bonne longueur d'avance au capitaine.**

Après, tu rentres sur le bateau... c'est ça...

**Et dans un flash-back, elle se remémora le soldat dans la cour qui lui avait donné rendez-vous.**

Pourrait être utile d'avoir une aide intérieur...

**Elle se mordait la lèvre inférieure, balayant furieusement le sol impeccable.**

**L'homme passait inopinément par la, lui aussi sans doute averti par les autres de l'escarmouche. En effet le capitaine s'était frayé unh chemin et en était sortit indemne. Alors justement le jeune officier que Katherine avait rencontré plus tot se souvint de elle.**

-Ah tu es la?

**Il pensa a la bagatelle.**

-Si on profitait de tout ce rafus pour dispatraitre? J'ai toutes les clés ici.. pssst...

**Pendant ce temps avant que la porte ne se referme, la cuisinière a le temps d'entendre a l'intérieur le privé dire...**

-Le Styx est devenu gênant.. Il va falloir l'éliminer.

*Les joues en feu, Katherine hésitait entre courir sur le Styx ou s'assurer d'avoir une aide intérieure, malgré tout ce que celà pouvait signifier. Dans son hésitation, elle se dit qu'elle allait laisser le soldat décider à sa place. Se raclant la gorge, le regard fuyant:*

C'est que... j'ai beaucoup de travail encore...

Dieu, ma décision est entre tes mains. S'il insiste, j'y vais avec ta bénédiction malgré qu'il n'y a pas eu mariage. Sinon, je file sur le Styx en fredonnant tes louanges.

*Elle attendait la réaction du soldat, terrorisée*

**Le soldat la prit par la main pour la faire entrer dans la pièce voisine. Il entra et commenca de la touvcher.. Bras., jambes, cuisses, et bientot il tentait de lui toucher la poitrine en la basculant sur un sofa dans la pièce sombre. Katherine peut encore se défaire de son emprise dans la pièce. Une grosse cruche trone sur la table derrière le sofa.**

-Laisse toi faire... la bave lui coule et il est affreu...

*Katherine roule de grands yeux effrayés et son regard se rive sur la cruche. Elle n'est plus certaine qu'avoir un tel allié soit une bonne idée, et n'est plus certaine de vouloir aller jusqu'au bout, mais elle est paralysée par l'idée d'assomer un soldat. Elle se contente d'un pitoyable:*

J'ai vraiment beaucoup de travail....

**A ce moment précis, la porte s'ouvre brusquement et laisse entrer la servante qui était dans le passage et un officier plus gradé encore.. Elle laisse échapper un..**

-Il est ici général.

**Le général entre dans la pièce, il est grand et moustachu. Ses cheveux sont blancs. Il regarde inopinément le jeune officier dÙ'un regard désaprobateur et lache..**

-Quye se passe t-il ici? Infactuation, fricotage.. tout cela est..

**Pendant ce temps la servante qui avait pris Katherine en affection lui fait un clin d'oeil, et lui fait signe qu'il est temps de se faufiler ... pendant que le généralk est en train de perdre les sens...**

*Katherine, aussi rouge qu'une tomate, sort de la place en jettant à l'autre servante un regard chargé de gratitude, et se presse de sortir du palais.*

Une mauvaise décision, mais au final, tout va bien. Oui. Tout va bien.

*Son coeur battait à tout rompre.*

**Avec le concours de la servante ÙKatherine gagne le refuge de leur salle de dortoir. Sans savoir a qui elle a affaire elle t'amène a leurs quartiers des servantes, en tournant deux coins.**

-Viens ici te remettre de tes émotions. Prend cette serviette.